Notre premier épisode d’une série de 15 histoires autour de cette charmante Abarth 595C. Je l’attendais avec impatience depuis des mois, nous voilà réunis, nous, moi, elle, une histoire qui commence, reste plus qu’à la présenter à la famille dans quelques jours…
Le premier contact est jouissif, je vous assure avoir une Abarth c’est appartenir à une communauté, une exclusivité à prix abordable (plus ou moins). Je passe prendre les clés, ravi, je connais déjà la maison, j’ai pu essayer il y a quelques mois sa grande sœur, la 595 50ème anniversaire, une vraie petite bombe de 180 ch à la sonorité envoûtante. Autant dire que la 595 Turismo ne possède pas la sonorité de l’échappement ni les perfs, mais son look et ses jantes de 17 pouces me laissent pas indifférent, vraiment très sexy avec son coloris gris/bleu avec un liserer blanc, très beau coloris. Cette Abarth devient encore plus sexy avec son toit rétractable, certains s’exclament sur le fait que ce n’est pas un vrai cabriolet, peu importe l’audace et la beauté, je me laisse séduire volontiers par cette beauté italienne.
Sous le capot, un petit 4 cylindres de 160 chevaux rentré au pied de biche, 4 freins à disques ventilés à faire rougir au premier freinage, le caractère sportif semble bien là. Petite douche froide lorsque je regarde l’autonomie sur l’ODB qui affiche seulement 350 km ! Au vu de ce que nous avons à faire, les stations essences du coin vont me voir défiler tous les jours si j’ai le pied lourd !
C’est parti pour l’aventure #MyAbarth595C, plusieurs centaines de kilomètres de bitume m’attendent… la suite au prochain épisode, contact, roulez jeunesse direction Paris !