Direction la Turquie, plus de 3 000 km à bord d’un SUV pas comme les autres, vous l’avez dans le mille, un bon Dacia Duster de location, je vous embarque avec moi sur les routes de l’arrière-pays ottoman, riche en histoire et en paysage, certainement un bon choix à faire pour vos vacances d’été !
En vidéo : voyage sur les routes turques en Dacia Duster
Pour les locations de voiture sur place, pas le choix, on nous propose un Dacia Duster diesel de 110 ch millésime 2017, accrochez-vous, ça risque de chauffer !
Destination finale, les cinéphiles auront compris le clin d’œil, pas de mauvaise aventure, vacances estivales de prédilection, la Turquie reste le bon plan, la demande est telle que le marché des voitures de location connaît une forte pénurie durant les mois de juillet et août. j’assume, et fier de rouler en voiture Low-cost, je me console par son côté robuste et passe-partout,
Allez, c’est parti, un roadtrip haut en couleur, entre rencontre, histoire et traditions, en terres turques et Kurdes, un voyage sûrement inoubliable !
La Traversée de l’Europe : plus de 3 000 km, 30 heures de trajet
On commence par quelques traditions au compteur, il ne faut pas avoir peur de faire des kilomètres, lorsqu’on vient d’Europe, une traversée depuis la France, l’Angleterre ou bien de l’Allemagne qui pourra se faire de différentes façons à condition d’avoir un peu de temps devant soit !
Trajet en avion : Paris > Istanbul > Malatya > Elbistan
L’avion ! Pour les plus flemmards d’entre nous, l’avion reste le moyen de transport le plus simple, le plus rapide, mais c’est aussi le transport le plus cher (coût élevé environ 800€ par personne). Pour les familles nombreuses, ça chiffre vite.
Trajet en voiture : Paris > Istanbul > Malatya > Elbistan
Une partie par par bateau départ de Paris > Ancône en Italie) > Ferry > Igoumenitsa en Grèce > Turquie : c’est le moyen le plus confortable, dans le bateau avec chambre, salle de bain, wc, resto, repas avec une belle vue, il faudra compter plus de 17 h de traversée en bateau, l’avantage, c’est qu’on peut se reposer, ce sont aussi 10h de plus que la route, mais aussi un moyen sûr de ne mettre pas trop de borne à sa voiture et c’est aussi un moyen d’éviter la Bulgarie, vous allez comprendre pourquoi.
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Le petit conseil avant de prendre le bateau, lors de la réservation du bateau, pensez à bien réserver la place pour le véhicule en plus des occupants.
Petit conseil si vous partez en voiture : partez en semaine et évitez de partir pour les week-ends sinon, c’est assez galère. Autre petit conseil partez avec des billets de petite coupure, de 5€, 10€ pour les bakschichw en Serbie et en Bulgarie.
En voiture en prenant uniquement la route, en partant de Paris > Allemagne > Autriche > Slovénie > Croatie > Serbie > Bulgarie > Turquie ce détour permettra d’éviter la Bulgarie, il faudra y rajouter environ 150 km soit une heure et demie au trajet + quelques heures d’attente également à la frontière Serbe.
Un grand Merci à l’ami Baki qui m’a donné ces infos précieuses si vous avez d’autres itinéraires à nous conseiller n’hésitez pas à nous les partager dans les commentaires de cette vidéo.
Pour ma part, j’ai choisi l’avion, pas le temps de perdre 2 jours sur les routes. Au programme, une escale à Istanbul puis destination Malatya, s’ajoute à cela 2 heures de navette pour arriver au Köy (village) à quelques dizaines de kilomètres d’Elbistan, une ville de la province de Kahramanmaraş en Turquie à population à majorité Kurdes où les communautés Alévis et Musulmanes vivent ensemble.
Présentation de mon Dacia Duster diesel de 2017 de location
Avant de continuer mon aventure, je devais vous présenter la bête qui m’accompagnera jusqu’au bout de l’aventure, ce Dacia Duster de location est d’origine, pas de modification moteur, et même ses barres de toit en aluminium ! Le Duster a bonne réputation et une bonne côte en Turquie, celui-ci est un modèle de 2017, moteur 4 cylindres 1,5L DCI diesel de 110 ch et 260 Nm pour gravir les cols de montagne, la finition, quant à elle, s’approche d’un milieu de gamme ! Désolé, je n’ai pas la référence, il s’agit a priori d’un modèle d’importation allemande
On notera que ce SUV à l’esprit baroudeur, pourrait me faire croire qu’il s’agit d’un franchiseur bien qu’il s’agisse d’une simple traction, quelques renforts subsistent sous les pare-chocs avant et arrière,, je pense qu’il s’agit d’un plastique costaud, en tout cas, ce n’est pas du métal, bonne nouvelle, les angles d’attaques semblent bien aiguisés pour s’aventurer hors sentiers balisés. La monte de pneumatique à flanc épais permet quelques acrobaties sans risque sur les rochers. Seule la Calandre chromée marquera une semblable note de “luxe”.
Un rapide coup d’œil à l’intérieur, l’essentiel est là ! Un coffre généreux de 445 litres de volumes de chargement, à noter, le gros bordel qu’on peut y mettre, à l’arrière 3 vraies places, il manquera pour ce modèle d’essai 3 ceintures sûrement une option, et à l’avant le confort paraît sommaire, les sièges loin d’être enveloppant comme un Range Rover sont plutôt confortables et la seule note de luxe sera cet accoudoir amovible en tissu et la climatisation bien pratique sous 40° à l’ombre !
Renault R12, une antiquité vielle de 50 ans à moteur Cléon-fonte !
Et oui, c’est la Découverte d’une sacrée antiquité internationale : Renault R12, une belle carrière à la conquête du monde. Ici Pas de chichi, avoir une R12 ça se mérite,, les images parlent d’elle-même, dans son Jus, cette R12 produite en Turquie a du vécu à son compteur.
Paix à son âme, la voiture du regretté « Dede (*Dede veut dire Grand père en Turc) Cette R12 trône encore fièrement dans le garage familial. Cette honorable antiquité roule encore, les déplacements sont folkloriques mais authentiques comme à l’époque, un retour vers le passé inévitable à son volant.
Petite parenthèse justement sur son passé, à noter que la Renault R12 a été la voiture la plus vendue en France, mais elle a été aussi la voiture la plus vendue en Turquie, il n’est donc pas rare d’en saluer sur les routes du pays !
La R12 a donc connu une carrière à l’internationale, puisque de nombreux exemplaires ont été vendus aux États-Unis, mais aussi en Australie, en Argentine, en Afrique du Sud… La R12 a été proposée jusqu’en 2000 en Turquie… et 2006 en Roumanie, avec le logo Dacia…
Et si le Duster en était le successeur, je vous pose la question ? La boucle est bouclée.
Bon fermons la parenthèse, Laissons le temps au temps, c’est un peu la devise de cette vielle mamie au losange bien fatigué.
Je ne peux m’empêcher de vous faire un rapide point sur le comportement routier, loin d’obtenir avec aisance les 5 étoiles au crash-test EuroNcap, la R12 montre des signes de virilité, malgré la rouille et les bruits de roulements, la direction est hasardeuse, les rapports de vitesse se passent à l’aveugle, une voiture à l’ancienne et c’est ça qui est bon.
Dans ce vacarme mécanique, fenêtres ouvertes, c’est l’aventure à bord de cette vieille R12 des années 70, son moteur increvable d’une puissance qui peine à atteindre les 50 ch, surnommé aussi le « moteur Cléon-Fonte » celui-ci peine à tirailler les 900 kg de ferraille, une seule question me vient à l’esprit, à quel moment dois-je passer le 4ème et dernier rapport.
Bref une bonne dose de souvenirs d’antan et de sourire qu’ont pu connaître nos parents et nos grands-parents.
Un moment unique à son volant, je savoure avec vous ces instants nostalgiques et authentiques, je t’emmène dans les hauteurs pour te raconter une autre histoire, celle de la chèvre de Monsieur Seguin. Retour en enfance !
Direction le Yayla, un plateau de montagne entre Yourtes et Transhumance saisonnière, rencontre improbable !
Notre Duster de location chargé comme une mule ne démérite pas dans les montagnes, heureusement sa garde au sol est haute et ses 2 roues motrices parviennent timidement à amener la famille sur les hauteurs.
Sur les routes défoncées et poussiéreuses, les capacités en tout chemin sont assez efficaces malgré des pneus d’hiver en plein été 😉 Bien que le confort n’atteint pas celui d’une Rolls, nous grimpons en altitude pour rencontrer au détour d’une transhumance, ce petit village fait de Yourtes, la famille nous attend, au loin, j’aperçois, ce berger courageux, d’ailleurs, il a une histoire à nous raconter.
Un souvenir d’enfance lut dans nos vielles berceuses terrifiantes, simples routine pour ce berger et sa canne en bois tordue, ce brave homme aux yeux clairs, avoisinant les 70 bougies et ces 3 chiens fidèles ont assisté la nuit dernière à l’attaque de 6 loups, une attaque soudaine faite par l’arrière du troupeau mis en échec par l’efficace et la ténacité de ces chiens, le Kangal célèbre chien de garde, le courageux chef au collier piquant possède une solide défense face à ces chasseurs de nuit. Par chance, la bonne visibilité grâce à la lune et les cloches retentissantes des moutons vers 3 h du matin ont permis d’alerter la garde rapprochée, les loups démasqués ont vite déguerpi.
Permettez-moi l’expression, légèrement poussiéreuse, revenons à nos moutons, ce Dacia Duster repart pour de nouvelles aventures dans les montagnes, direction le Köy familial, un village d’une vingtaine d’habitants près de Baris à 30 minutes de la ville de Nuhrak où une forte communauté française y réside l’été.
Après cette petite histoire émouvante, j’espère que tu ne t’es pas encore endormi, direction les cheminées de fées et ces montgolfières, on arrive en Cappadoce région prisée par les nombreuses Instagrameuses et surtout par les nombreux touristes français et italiens, direction la route D300 !
Direction l’Anatolie centrale, la Cappadoce : des paysages merveilleux à couper le souffle
Pas d’autoroute, mais des routes limitée théoriquement à 90 km/h, 5 h de routes depuis Elbistan pour rejoindre Göreme, capitale de la Cappadoce, je vous conseille d’y rester 2 jours pour apercevoir de bon matin l’envolée des montgolfières quand le temps et le vent le permettent
Ensuite, une petite halte à faire dans la très belle ville d’ Uçhisar pour y boire un thé turc ou un café turc, le temps de se poser et d’admirer la vallée des pigeons. Il est également possible de faire une visite à la forteresse avec ses abris creusée sur un piton volcanique, ces abris qui datent de 1500 av. JC et ils servaient également de refuge notamment aux premiers chrétiens et byzantins.
Retour en voiture dans la région de KahramanMaras et ces célèbres glaces Dondurma, un délice de crème glacée battue élastique, et sans transition, je te fais un point bison futé sur la conduite à adopter sur les routes turques
On notera que la plupart des voitures plaquent étrangères (francais, anglais et allemand) ont le pied lourd voir très lourd sur l’accélérateur, ils semblent ne pas avoir le temps, et roulent très vite contrairement aux locaux qui respectent scrupuleusement le code de la route au clignotant près, c’est vous dire, gros respect à eux !
Je vais sûrement détruire quelques préjugés, je vous rassure dans le bon sens du terme, il faut souligner que les routes en Turquie sont ultras bien entretenues et surtout très récentes.
Il faudra se méfier de ce qui vous entoure, car le danger de jour comme de nuit n’est pas loin surtout en période de moissons, la récolte des blés y est intense surtout début août. Il n’est pas rare de se retrouver en face-à-face avec un tracteur ou une moissonneuse non éclairé sur une 2x 2 voies, donc ça peut surprendre, il n’est pas rare de croiser un troupeau de mouton, de vaches ou de chiens errants traverser la route, donc redoubler de vigilance surtout la nuit.,et ralentissez à la traversée de ville, la plupart des grandes routes coupent ces villes en 2, donc faites très attention.
N’oublions pas la police, celle-ci pratique beaucoup de contrôles routiers inopinés, soyez donc vigilants au volant avec tous vos papiers à jours, passeport et permis de conduire (que je n’avais pas bien sûr).
Admirez aussi la petite astuce des policiers en y installant de fausses voitures de police sur le bas-côté de la route, imaginez cela en France, je ne leur donne pas une semaine d’existence.
Vous l’avez compris ; il sera nécessaire au volant de redoubler de vigilance sur la route D300, une route qui coupe le pays en 2, de l’est à l’ouest sur une étendue de 2000 km.
Le point consommation avec ce Dacia Duster diesel
Alors Bonne surprise, c’est un véritable chameau ! Avec plus de 3 000 km parcourus en 10 jours, notre Dacia Duster n’a pas chaumé. Avec une consommation moyenne de 4,7 litres à 90 km/h de moyenne, ce chameau low-cost peut parcourir plus de 1 300 kilomètres avec un plein de 50 litres en activant le mode Eco et à condition d’avoir le pied léger sur l’accélérateur.
À noter le prix de l’essence en Turquie, qui équivaut à 23 TL soit à peu 1,27€, un prix au litre moins cher qu’en France, mais il faudra pondérer ces valeurs, pour rappel, le salaire moyant en Turquie est de 350€
Pour information, l’inflation est telle qu’en Turquie, une livre turque vaut 0,055 euro, soit 1€ =18/19 TL
Le temps de faire le plein à la station essence, et chose étonnante, comme au États-Unis, le self-service n’existe pas, c’est une personne qui vous fait le plein 😉
Direction Dersim et Munzur : 2 joyaux en terre kurde
Pour juger du comportement routier de ce Duster, une direction peu précise et une boite à 6 vitesses qui permet d’abaisser les consommations, le revers de la médaille, c’est qu’il faudra souvent changer et jouer des rapports de vitesse pour relancer le véhicule.
Sur la route en direction de Dersim plus communément appelée Tunceli , je passe par un endroit qui dénote au milieu de ces montagnes, le Château de Pertek situé au milieu d’une immense étendue d’eau. J’admire depuis mon bateau cette belle vue sur cette citadelle, construite au XIe siècle par des Seldjoukides sur la rivière Murat que l’on traverse en bac pour se rendre d’Elazığ à Dersim. Il faut savoir qu’à la suite de la réalisation du barrage de Keban, le château se trouve désormais sur une île.
Après quelques minutes de traversée, on reprend la route, direction Dersim pour quelques notes d’histoire, on prend encore plus de hauteur dans les montagnes de la région du Kurdistan, une région non reconnue par l’État Turc, une zone historique de la résistance Kurde.
D’ailleurs les contrôles routiers se multiplient dans la région sous haute surveillance policière et surtout militaire, il n’est pas rare de voir des hommes contrôler vos papiers Kalachnikov à la main et chemise hawaïenne, c’est assez hallucinant, impossible de prendre des images, je baisse ma caméra, et fais profil bas, Une situation qui n’a rien d’étonnante puisque je rentre dans le fief Kurde Alévies où dans les années 30, la résistance fût forte dans la région .il s’agit en effet d’une des dernières poches de la résistance kurde du pays. Sur ces notes d’histoire, je ferme la parenthèse.
On reprend la route direction la ville de Munzur, plus de 2 heures de voyage dans mon rutilant Duster, vitesse max : 70 km/h dans la vallée du Munzur, les routes et les paysages sont magnifiques, quelques prises de roulis qui tempèrent mes ardeurs, c’est clairement un gros kiff au volant, entre la roche ocre et la rivière Munzur colorée d’un bleu turquoise si unique, je dois encore redoubler de vigilance sur ces routes serpentées et accidentées où les chutes de cailloux et la traversée d’animaux sauvages sont fréquents.
J’arrive à la source Munzur, nom laissé à une marque d’eau minérale réputée en Turquie, la vallée de la rivière de Munzur est déclarée « premier parc national de Turquie », c’est l’un des plus grand parc du pays, je vous conseille clairement d’y aller et d’y passer une journée. L’eau du Munzur, est considérée comme sacrée par la communauté kurde Alévie qui constitue la majorité des habitants de la région.
Amateur de rafting, de randonnées ou bien amateurs de pique-nique, c’est le dépaysement total dans cette région riche naturellement et qui regorge également de nombreuses mines d’or, d’argent, de Chrome et de cuivre.
La Turquie et le monde automobile : une histoire de passionnés
On le sait et je suis le premier témoin de cet amour, beaucoup de Turques commentent mes vidéos sur les voitures, en turc cela se dit “Araba” pour ceux qui ne savent pas, un salut à tous ceux qui se reconnaîtront !
J’en ai vu des belles caisse, et même des gros bolides à plus de 400 000€ sur des routes de montagnes ou de campagnes perdues.
Il n’est pas rare de croiser des Mercedes GLE AMG ou bien encore quelques Audi SQ7 ou bien quelques BMW X5M, tous pour la plupart de gros SUV surpuissant. En me rendant en Cappadoce, j’ai pu apercevoir un Rolls-Royce Cullinan plaqué UK ou bien encore la dernière Rolls-Royce Ghost.
Au détour des montagnes près de Dersim, je découvre ce magnifique Urus d’une valeur de 385 000€, improbable de le voir ici garé sur un parking en terre, et grâce à cette vidéo que j’ai postée sur mon compte TikTok, j’ai pu avoir quelques informations précises, et il n’est pas rare pour certains fortunée de transporter leurs belles autos par avion moyennant 5000€ l’aller, une bonne idée pour éviter de leur mettre au compteur des milliers de kilomètres supplémentaires. Une passion automobile que la peuple Turque au sens large du terme apprécie fortement.
Que vaut le Dacia Duster en occasion ?
Avant de vous lâcher un “Gule Gule”, je voulais faire un point rapide sur ce compagnon de route, faire un tour sur le marché de l’occasion, car clairement, ce Dacia Duster est une excellente auto, bourrée de bon sens avec peu d’électronique embarquée, ce qui lui vaudra une bonne fiabilité et une bonne longévité à coup sûr !
Je m’interroge sur la valeur en occasion de ce Dacia Duster en France. Et là, grosse surprise, les prix affichés tournent autour des 15 000€ pour un Duster de 2017 diesel embarquant un kilométrage de plus de 100 000 km. Une cote assez élevée pour ce SUV low-cost vendue à l’époque autour des 20 000€.
Combien coûte la location d’une voiture en Turquie l’été ?
Pour répondre à cette question dont beaucoup de vacancier se posent la question du coût de location d’une voiture en Turquie, il faut simplement savoir que la demande de location de véhicule l’été triple facilement. Les prix sont alors à leur plus hauts niveaux, compter pour un mois de location entre 25000 TL (1 400€) à 35 000 TL (1 900€) pour un Dacia Duster diesel d’ancienne génération (2017) avec un kilométrage illimité et assurances comprises.
Fin d’un long voyage passionnant
Voilà, c’est terminé, le roadtrip de plus de 4 000 km à l’intérieur des terres turques prend fin, j’espère que ce voyage et ces petits conseils vont on été utile et vous ont plus, si c’est le cas n’hésitez pas à donner ton avis dans les commentaires.
Güle Güle à tous !