Dans la famille Volkswagen, je demande la Golf 7 GTE ! Véritable icône déclinée à toutes les sauces et fraîchement restylée, nous nous sommes envolés pour Oslo afin de découvrir la nouvelle version hybride de la compacte phare du constructeur de Wolfsburg.
Volkswagen Golf 7 GTE 2017 avis test
Look - 90%
Vie à bord - 85%
Technologie - 100%
Comportement - 90%
Autonomie - 85%
Plaisir de conduite - 80%
Prix - 60%
84%
Déjà bien née lors de sa sortie, la Golf VII garde son statut incontesté de reine de son segment avec ce restylage important de mi-carrière. Elle conserve son style statutaire tout en se modernisant et fait le plein de technologies pour être en avance sur son temps, tout en proposant une hybridation GTE réussie.
Après avoir surmonté, tant au niveau financier que médiatique, le scandale du TDI, VW mise tout (et ils ont bien raison) sur les énergies propres. Le géant allemand travaille depuis 2013 au développement d’une gamme verte composée d’hybrides (dont la Golf 7 GTE), de modèles Multifuel (E85) et de 100 % électrique (e-Golf et e-Up), une recette qui commence à prendre auprès du grand public si on en croit les chiffres de vente communiqués par le constructeur. En attendant le développement d’une gamme complète de modèles 100 % branchés à l’horizon 2020, VW compte sur quelques modèles pour « prendre la température » et roder ses technologies.
Avant de me jeter dans le grand bain du tout-électrique lors d’un futur essai de la e-Golf (j’aime trop l’odeur du SP98 de bon matin pour ça), j’ai choisi de découvrir le cocktail hybride essence + électricité proposé sur la dernière génération Golf.
On peut être hybride et jolie, oui oui !
Après trois ans de carrière au top, la compacte iconique de VW a suivi la mode de ses principales concurrentes (Peugeot 308, essayée ici, notamment). Elle a ainsi eu droit à un petit repoudrage afin de lui donner un look plus actuel et l’aider à garder son statut de star dans le segment.
Dans notre déclinaison GTE, le must de la gamme aux côtés des GTI, GTD et Carat Edition, cela se traduit par un nouveau bouclier au style plus recherché, mais aussi et surtout par l’adoption de nouvelles optiques AV et AR en LED avec une signature lumineuse hyper recherchée, qui m’a fait je dois dire son petit effet. Les feux de jour en forme de C de chaque côté (signe distinctif des modèles GTE/e de VW), les optiques soulignées d’un cil de LED, les nouveaux feux AR et les clignotants défilants donnent un côté OVNI à notre Golf qui colle bien à sa philosophie de compacte propre en avance sur son temps.
GTE rime également avec inserts bleus disséminés un peu partout (dans les feux, dans la calandre, sur les étriers de freins, etc.) et jantes efficientes de 15 pouces donc pas vraiment sexy en série, mais proches de la perfection avec les 18 pouces optionnelles de notre version d’essai.
Ces quelques appendices discrets mais bien trouvés permettent aux connaisseurs que vous êtes de la distinguer dans la rue, mais aussi et surtout à monsieur-tout-le-monde de ne pas faire la distinction ; et c’est sûrement là la plus grande force de la Golf GTE… Là où d’autres constructeurs donnent à leur modèles hybrides des looks de soucoupes volantes (non non je ne citerai pas de nom), VW a eu l’intelligence de ne pas toucher au dessin consensuel mais efficace de son icône qu’est la Golf, une voiture qui traverse les années sans prendre trop de rides.
L’ensemble me plait. L’apparence de la Golf GTE est équilibrée, moderne, haut-de-gamme, une vraie compacte premium au look qualitatif et recherché. Le restylage survenu il y a quelques semaines donne un nouveau souffle à une voiture bien née et les ajouts de la version GTE lui apportent un peu d’exclusivité et d’originalité.
Un intérieur mis à jour et modernisé
Qui dit restylage dit mise à niveau technologique… Et pour le coup, là où Peugeot a été frileux avec l’intérieur figé dans le marbre de la 308, VW a numérisé (c’est le mot !) l’expérience à bord de la Golf.
Avant de s’intéresser aux nombreux écrans et autres raffinements dont le geek que je suis raffole, difficile de ne pas dire quelques mots à propos de la leçon de qualité de finition que VW donne à ses concurrents. C’est assez simple : il n’y a rien à redire tant l’ensemble de l’habitacle de la Golf est parfait, que ce soit au niveau des assemblages caractéristiques de la rigueur germanique, des plastiques moussés hyper qualitatifs qui recouvrent toutes les parties visibles ou de la qualité des cuirs nappa (option à 1960 € !).
Seules les quelques touches bleutées (inserts de seuils de porte, éclairage d’ambiance et surpiqures de cuir sur le volant) rappellent que l’on est dans une GTE. Rien ne craque, rien ne bouge, tout est à sa place et respire la qualité, que ce soit au toucher ou à vue d’œil. Allez, si je devais avoir à redire quelque chose… L’usage de plus en plus récurrent du noir laqué à bord des voitures modernes ! Certes, le « piano black » est agréable à l’œil, mais qu’il est sensible aux micro-rayures et autres traces de doigt… Micro-fibre à portée de main obligatoire pour garder une voiture à l’aspect « comme neuf ». Le dessin général reste lui globalement le même, et c’est tant mieux ; l’ergonomie est excellente avec des commodos de clim’ physiques (merci VW de ne pas avoir rassemblé le tout dans l’écran) et un joli volant à méplat pourvu d’un nombre limité de boutons, tout est étudié pour que l’expérience à bord soit optimale.
Côté habitabilité, les places AR sont accueillantes avec un espace aux jambes dans la moyenne haute du segment, mais, GTE et batterie obligent, le coffre perd en volume (272 L vs. 380 L).
Pour le reste, bienvenue en 2017. Boutons physiques et autres compteurs avec aiguilles ont disparu. Le restylage a donné à la Golf deux grands écrans, l’un derrière le volant, l’autre sur la console centrale. La GTE jouit de série de l’Active Info Display, ce moniteur de 12,3 pouces digne d’une navette de la NASA qui remplace les compteurs et permet de personnaliser l’affichage entre les compteurs numériques à sa guise pour n’avoir que ce que l’on désire devant les yeux. On peut ainsi jongler aisément entre l’affichage de la carte (Google Earth aussi s’il vous plaît), les données de conduite, la partie musicale ou la gestion de l’hybridation de la voiture. On prend vite goût à ce type d’instrumentation, laissant ainsi au passager le loisir de s’amuser la recharge par induction de son téléphone ou avec la superbe dalle tactile de 9,2 pouces (quasiment la taille d’un iPad).
Baptisé Discover Pro et proposé en option pour remplacer l’écran initial de 8 pouces, ce moniteur offre un confort d’affichage excellent et une interface modernisée qui intègre une pléthore de fonctionnalités. Une fois n’est pas coutume, commençons par ce qui fâche : le nid à traces de doigt qu’il devient après quelques minutes à jouer avec (pas de traitement oléophobe comme sur nos iPhone) et la commande gestuelle complètement dans les choux, dommage ça avait l’air cool sur le papier de changer sa radio en faisant des signes à son écran (et ça fonctionne bien chez BMW). Hormis ces quelques ombres, la modernité est légion avec l’intégration d’Apple CarPlay, d’Android Auto ainsi que des services VW « Guide & Inform » (météo, prix du carburant en direct, places de parking, trafic en ligne, cartes mises à jour, etc.) inclus pendant 36 mois.
Petite subtilité des e-Golf et Golf GTE, le système est capable de trouver des informations sur les bornes de chargement (type de prise, puissance de charge, disponibilité des stations, prix) en fonction de l’autonomie restante ou à destination. D’ailleurs, les batteries sont pleines, en route !
Sur la route, un pas de plus vers le futur !
Sous le capot, la Golf 7 GTE embarque le bien connu et éprouvé 1.4 TSI de 150 ch, lié à la non moins populaire et formidable boite à double embrayage DSG 6 et… couplé à un moteur électrique de 102 ch. C’est là que réside tout l’intérêt de la voiture : sous le coffre, la compacte perd des litres de chargement mais gagne une batterie lithium-ion de 8,7 kW.
En tout et pour tout, la Golf GTE peut ainsi compter sur une cavalerie de 204 ch (vous aurez compris que les puissances des deux moteurs se combinent et ne s’accumulent pas), qui offre 350 Nm de couple et un 0 à 100 km/h abattu en 7,6 secondes. Malgré sa prise de poids (200 kg par rapport aux autres Golf), on retrouve les sensations propres aux voitures électriques et que je me plais à redécouvrir à chaque fois : une accélération linéaire et instantanée (ce n’est pas une Model S mais ça y ressemble), ainsi que cette sensation de flotter sur la route en n’entendant que le léger sifflement de la batterie et l’air contre la voiture.
Sérénité : c’est assurément le premier mot qui me vient après plusieurs minutes dans les rues d’Oslo au volant de la GTE. Au-delà d’un environnement hyper propice au développement des voitures électriques (on y reviendra dans un autre article) et de l’omniprésence de cousines électriques (e-Golf, Nissan Leaf et Tesla en tête), la Golf « presque propre » incite à la conduite zen en e-mode (100 % électrique).
Après 3h45 de charge sur une prise lambda ou 2h15 sur une borne plus puissante (3,6 kW), la batterie de 8,7 kW offre une quarantaine de kilomètres d’autonomie pour rouler en se délectant du moindre litre de SP98. Je me plais ainsi à participer à la quiétude des rues d’Oslo et à la qualité de l’air excellente de ce beau pays qu’est la Norvège. J’adopte une conduite fluide et coulée, tout en jouant du freinage régénérateur qui, en plus de ne pas avoir à toucher le frein pour ralentir la voiture, permet de recharger les batteries pour se passer encore plus longtemps du moteur thermique.
Le plus beau dans tout ça vient sûrement du fait que les 45 km d’autonomie annoncés par la voiture (50 en monte de 16 ou 17 pouces) sont réels puisque nous avons pu parcourir environ 40 km sans déclencher le TSI à allure « normale » (alternance entre 40 et 80 km/h) et avec la ventilation activée. En adoptant les principes de bases de l’éco-conduite et en activant le violent mais efficace mode de récupération d’énergie au freinage avancé, il est largement possible de dépasser les 40 km, soit une distance largement suffisante pour aller au travail sans dépendre de l’essence.
Pendant que nous vidons les derniers kW de notre petite batterie, l’écran de la console centrale nous permet de suivre en direct l’autonomie de la voiture avec l’affichage de diverses données comme les flux d’énergie, mais aussi un très pratique mode carte qui trace un cercle au-delà duquel on ne pourra se rendre en tout électrique. Intelligent.
Plus de jus, mais ce n’est pas grave ! Là où la peur du manque de batterie en pleine campagne lors de l’essai d’une Tesla vous fait serrer les fesses, le fait d’avoir encore un moteur thermique sous le capot rassure en quelque sorte (je ne suis pas encore 100 % écolo, désolé Mr. Hulot). La voiture se place d’elle même en « mode hybride » en allumant le moteur essence sans que l’on s’en rende compte, mais je force le passage en retournant en « mode Battery Charge », ce qui demande au moteur thermique de recharger la batterie pendant que nous roulons. Ce principe a du sens sur voie rapide où l’utilisation du e-mode n’a que peu d’intérêt, le TSI sur-consomme alors un brin pour donner du jus aux batteries. On se retrouve ainsi à bord d’une Golf tout à fait lambda, et dont je ne vous ferai pas l’apanage puisque tout le monde dans sa vie est déjà monté dans une Golf.
Sur voie rapide, la compacte est reine. Le restylage lui a offert (moyennant 1020 euros quand même) un panel d’aides à la conduite qui nous donne un avant-goût d’une Golf autonome… Au-delà des maintenant habituels avertisseurs d’angles-morts et freinage d’urgence, le cru 2017 embarque un régulateur de vitesse adaptatif surdoué permettant de caler la voiture par rapport à celle de devant, et ce jusqu’à l’arrêt complet, tout en sachant aussi la redémarrer et la faire repartir sans intervention de notre part (pratique dans les bouchons !). Ce système se combine au Lane Assist avancé, qui offre le loisir (même si on n’a pas le droit) de faire autre chose de ses mains, puisque la voiture s’occupe seule de sa trajectoire en se calant sur les lignes de la route, et ce même à 120/130 kmh ou sur départementales sinueuses, où la voiture vous accompagne dans votre trajectoire avec une incitation plutôt prononcée dans la direction, troublant au début. La Golf ne sait pas encore doubler seule, mais ça ne saurait tarder…
GT(E)
Dernière subtilité de la GTE, le mode… GTE. Les deux premières lettres de cette appellation ne sont pas sans rappeler les gênes dynamiques de la Golf (GTI, GTD…) et VW a doté sa compacte d’un mode permettant de combiner la puissance du TSI et le boost du moteur électrique, donnant un cocktail vraiment convaincant. Ce mode transforme la voiture, délaissant ainsi toute considération écologique au profit de la performance. Il permet à la Golf de proposer instantanément la puissance maximale avec une pédale d’accélérateur plus sensible, une direction plus consistante, une boite DSG au comportement adapté et une suspension raffermie (avec DCC à 1230 €). Cela offre à la compacte des qualités dynamiques surprenantes et une efficacité bienvenue, la prise de poids de 200 kg n’affectant en rien les excellentes liaisons au sol de la voiture. Le quatre cylindres chante dans l’habitacle (aidé par un générateur de bruit qui produit un son rauque mais aussi faux que dans le 308) et l’on se plaît à passer plutôt rapidement les successions de virages, la voiture encaissant sans broncher les freinages, chocs latéraux et relances que nous lui faisons subir en n’accusant quasiment pas de sous-virage. Bluffante cette GTE !
Un vrai gain de consommation ?
C’est un grand oui ! Tester l’efficience d’une voiture « verte » en l’espace de quelques heures et en-dehors de son quotidien est difficile mais le résultat est globalement convaincant… VW annonce un chiffre impossible à atteindre mais homologué par la NDEC de 1,8 L / 100 km. Le staff de VW nous a en toute honnêteté plus glisser tourner autour des 4.0 L / 100 km (environ 7,5 L / 100 km pour une TSI « standard ») dans leur quotidien, et c’est effectivement ce que nous avons relevé sans avoir forcément fait attention aux principes d’éco-conduite.
La combinaison essence/électrique rechargeable, solution de transition, est un choix prudent en attendant que les stations de charge se multiplient et que les temps de charge se réduisent. En plus des gains de l’électrique (silence, confort de fonctionnement et économies de carburant) dans les trajets du quotidien, cela empêche d’être dépendant à 100 % des bornes et des temps de charge parfois handicapants au cours de longs trajets (les pauses d’une heure tous les 400 km c’est bien mais c’est long pour aller en vacances…).
La modernité, ça se paye
Sans option et déjà joliment équipée (niveau de finition Carat), la Golf GTE est affichée à 40 500 €. Ajoutez-lui le système multimédia optimal, toutes les aides à la conduite, la magnifique sellerie cuir, une jolie peinture nacrée et de jolies jantes et vous dépassez les 45 000 €. Alors oui, 47 000 € dans une compacte ça commence à faire grincer des dents… mais l’offre de VW est cohérente : dans les mêmes gammes de prix, vous pouvez vous offrir la force tranquille et propre d’une Golf GTE ou l’exclusivité et la puissance brute d’une Golf R. Deux versions pour deux visions de la Golf haut-de-gamme.
Reste que la Golf GTE est un choix qui se doit d’être réfléchi pour être économiquement intéressant par rapport à une Golf TSI 150 tout de moins chère de 8 000 € à équipement équivalent. À chacun de faire les calculs d’amortissement par rapport à son usage pour déterminer la part qu’aura l’usage électrique par rapport au thermique.
Seule au monde, notre Golf « presque propre » n’a toute fois à souffrir d’aucune concurrence sérieuse : ses rivales ne proposent pas (encore) de versions plug-in hybride, hormis sa cousine premium l’A3 e-Tron. Seule sur le marché, elle jouit d’un monopole lui permettant d’afficher des tarifs salés mais à mon sens justifiés.
Finalement, demain est aujourd’hui
Ai-je pris du plaisir à son volant? Dans un sens oui. Habitué d’être assis au ras-du-sol avec un échappement rauque et les remontées de SP98 dans les narines, je dois dire que la conduite à bord de la Golf GTE est aux antipodes de ma vision initiale du plaisir automobile. C’est une voiture raison plus qu’une voiture passion, mais une voiture qui distille une certaine sérénité et une autre vision de la route, dans un confort et une technologie plutôt agréables.
Déjà bien née lors de sa sortie, la Golf VII garde son statut incontesté de reine de son segment avec ce restylage important de mi-carrière. Elle conserve son style statutaire tout en se modernisant et fait le plein de technologies pour être en avance sur son temps. Dotée de la technologie GTE et d’aides à la conduite de dernière génération, elle préfigure d’ores et déjà ce que sera la voiture de demain : propre et autonome. Si je devais m’acheter une voiture de tous les jours sage et rationnelle, ça serait elle.
J’ai aimé
- Ligne indémodable et moderne.
- Finitions intérieures au top.
- Équipements technologiques à la pointe.
- Confort et position de conduite
- Agrément de conduite (autonomie, fonctionnement du mode hybride, mode GTE sportif).
J’ai moins aimé
- Son catalogue d’options interminable.
- Volume de coffre restreint à cause des batteries.
Golf GTE en chiffres
- Prix : 40 500 € (hors options et opération commerciale de reprise)
- Motorisation thermique 1.4 TSI 150 ch + moteur électrique 102 ch
- Batterie Lithium-ion 8,7 kWh (40 km d’autonomie, 3h45 de charge sur prise domestique)
- Performances : v.max. 222 km/h / 0 à 100 km/h : 7,6 secondes
- Consommation constructeur ; mesurée : 1,8 L / 100 km ; 4,0 L / 100 km
- Dimensions : 4,27 m de long / 1,79 m de large / 1,48 m de haut
- Poids : 1540 kg
- Coffre : 272 L
Album photos Golf GTE
Volkswagen Golf 7 GTE 2017 avis test
Look - 90%
Vie à bord - 85%
Technologie - 100%
Comportement - 90%
Autonomie - 85%
Plaisir de conduite - 80%
Prix - 60%
84%
Déjà bien née lors de sa sortie, la Golf VII garde son statut incontesté de reine de son segment avec ce restylage important de mi-carrière. Elle conserve son style statutaire tout en se modernisant et fait le plein de technologies pour être en avance sur son temps, tout en proposant une hybridation GTE réussie.
14 commentaires
J’ai la Golf GTE depuis un mois ( voiture de fonction).
Je teste la consommation réelle
Sur autoroute, c’est 6,3 l/100. Aucun apport du système hybride et pour cause : en 400 km j’ai dû freiner 5 ou 6 fois sur des courtes descentes, pas de quoi recharger la batterie, c’est donc le moteur thermique qui fait toute la propulsion et chacun sait qu’un moteur essence cosnomme plus qu’un Diesel ( j’ai aussi une BM serie 1, 118d qui fait 5,6l/100 en moyenne sur 100 000 km réalisés ces dernières années).
Par ailleurs,en hybride , il faut faire des calculs de consommation complets et indiquer conso d’essence+conso électrique pour remmetre la batterie à l’état de charge initial du début de parcours, sinon , ça n’a pas de sens
A part ça, je confirme que la Golf GTE est extrêmement bien finie, très agréable à utiliser dont le mode électrique en ville, le mode GTE est aussi un vrai plaisir.
Je vais aussi faire le test de conso en usage mixte ville+départementale pour voir où se situe la conso réelle, le cycle NEDC étant une vaste fumisterie qui ne correspond à l’usage réel de personne. Est ce que quelqu’un pense vraiment consommer 1,6l au 100 ?
Il faudra en finir un jour avec ces cycles inventsé par le secteur automobile pour berner les consommateurs. On a compris avec le DieselGate qu’il y a là une belle mafia à très grande échelle…
Pour ce qui me concerne, j’ai saisi l’opportunité de tester une hybride gratuitement ( étant une voiture de fonction) pour faire aussi mes propres statistiques et rétabli les vrais chiffres, à partager.
Je connais très bien la propulsion hybride pour avoir fait mon mémoire d’ingénieur sur le sujet chez un constructeur français. Il faut distinguer engouement, modes, intox de com des constructeurs, et réalité des chiffres du quotidien constatés sur la route…Hybride ne veut pas forcément dire rentable par rapport à une thermique classique, tout dépend de l’usage que vous faite de votre auto. Idem pour les émissions globales de CO2 du puit à la roue.
J’en ai une depuis 1 mois. Très satisfait faisant des parcours de 2 fois 22 km par jour et pouvant recharger sur mon lieu de travail je consomme 1 à 2 litres d’essence par semaine pour 220 kilomètres effectués.
Le week-end je privilégie le mode hybride avec effectivement entre 4 et 4,5 litres au cents.
Je ne comprends par le commentaire du dessus qui indique que l’on devrait faire une recharge complète de la batterie (avec le moteur essence) avant d’arriver à destination. Cela n’a pas de sens on mesure la consommation une fois que le plein d’essence et la batterie sont totalement épuisée, sinon pourquoi ne pas aussi remplir le réservoir d’essence avant d’arriver pour mesure et ainsi doubler les mesures de consommation?
Avec 6000 euros de bonus à Monaco cette voiture est moins cher que la GTD à équipement équivalent, il n’y a pas photo. en plus le silence est appréciable ainsi que le couple.
En full électrique je parcours entre 35 et 42 km en fonction de l’utilisation de la clim et le style de conduite.
Je ne regrette pas mon achat et je la recommande même avec un bonus de 1000 euros.
Merci pour votre retour Maxime, cette Golf GTE fait effectivement partie des voitures les plus polyvalentes et des plus agréables au quotidien. Dommage que le bonus ne soit pas aussi élevé en France ; plus on avance, moins les plug-ins hybrides ont de bonus d’ailleurs…
Super, merci pour votre retour d’experience en VW Golf GTE, vous ne regrettez pas votre achat. Bonne route 😉
Je précise pour la conso que j’ai des jantes 17 pouces
Elle est juste magnifique, j’ai eu l’occasion de monter à bord et franchement c’est un vrai bolide. julien de https://immatricule.pro/
une femme dans un monde d’hommes!
j’ai une Golf GTE depuis deux mois et…….. deux mois de prise de tête!
D’abord le positif elle est splendide tant à l’extérieur qu’à l’intérieur je l’ai prise bleu nuit (rendu magnifique), confort très agréable , conduite super j’ai essayé tous les modes et les aides à la conduite sont juste extra. Je n’ai pas encore tout essayé (la laisser se garer seule )etc..
Effectivement il y a beaucoup (trop) d’infos à pêcher à droite et à gauche et je ne sais pas encore tout faire! Les deux moteurs sont géniaux et j’aime la conduite GTE ( j’ai fait de la course de côte).Je ne voulais pas de boîte automatique (j’aime trop conduire) et pourtant j’apprécie maintenant.
MAIS:je disais prise de tête car depuis deux mois impossible de charger plus de 38 kms
que ce soit à la maison ou à la borne????? Et pour 2 kms parcourus la réserve en enlève 6 en mode hybride? Mon concessionnaire ne m’apporte aucune solution ni explication et du coup l’autonomie en électrique est vraiment très réduite. Je fais surtout de la ville. Peut-être pourrez vous m’aider car à cause de ce problème je suis très déçue.
J’aurais voulu faire un stage pour comprendre mais ils sont trop loin de chez moi.
Aidez moi. Merci.
Un peu plus de 40 000€ hors option, c’est vraiment ce qui fait baisser la note globale, parce que pour le reste c’est carton plein !
Si l’on considère certaines grandes sociétés (côtées au CAC 40,le must)et les informations les concernant dont on dispose (Lafarge et son soutien financier à Daesh,Bolloré et le travail des enfants dans des conditions proches de l’esclavage,France-Télécom et son harcèlement institutionnalisé conduisant au suicide de dizaines de salariés,Bayer-Monsanto et la très lucrative vente de produits dangereux,toxiques tant pour les agriculteurs que pour la biodiversité,Lactalis et le lait en poudre qui menace la vie des nourrissons,Wolkswagen et le trucage de ses véhicules polluants,la banque UBS et ses paradis fiscaux,Alstom et la liquidation du patrimoine industriel français avec Kron/Macron,les laboratoires Servier et le mediator,le médicament qui tue)on peut s’interroger sur le comportement de leurs dirigeants.Ces gens ne sont-ils pas des voyous en col blanc ?Peut-on encore affirmer sans sourciller qu’ils sont des « premiers de cordée »oeuvrant pour l’intérêt général ?Si tel était le cas toute la cordée menacerait de s’effondrer.Que font les pouvoirs publics pour limiter leurs nuisances ?Quels sont le degré de connivence et le niveau de corruption entre ces puissances économiques et nombre de « responsables » politiques ?Sous le régime des premiers de cordée macronisés il faut renoncer à la biodiversité,aux droits des personnes,à l’Etat de droit,à la démocratie y compris dans l’entreprise,à la responsabilité et à l’intégrité des dirigeants.Il ne reste plus que corruption à tous les étages,lâcheté,mise en danger de la vie d’autrui,renoncement à la protection des salariés et des plus vulnérables,mépris pour le vivant,mensonge généralisé.C’est ABJECT.Surtout,ne nous taisons pas.
Superbe voiture, je l’ai depuis 3 ans, et comme je fais principalement des trajets domicile / travail, je suis à 3000 km entre 2 pleins d’essence en moyenne. Evidemment quand je pars pour des trajets plus longs, c’est essence, mais pour le reste 100% économique. et quel plaisir cette voiture. La batterie a un peu perdu (et l’écart hiver/été reste important), mais ca reste largement suffisant pour mes besoins. Un conseil : le garage est indispensable l’hiver pour quelle charge au « chaud » 🙂
Bel article complet merci !
Effectivement, personnellement c’est le coffre de cette Golf GTE qui m’a le plus dérangé car avec un enfant on a vite fait d’accumuler des objets encombrants.
Une banquette qui avance comme sur une twingo aurait réglé le problème 🙂
see https://ssn.is
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