Quand l’heure du restylage approche et qu’il s’agit de renouveler un pilier de sa gamme, les constructeurs sont toujours assez frileux sur les changements qu’ils choisissent d’apporter à leur modèle… Après VW, qui a donné un souffle nouveau à sa star, la Golf, c’est au tour de Peugeot de dévoiler la nouvelle mouture de la 308. Simples coups de bistouris ou réels changements ? C’est ce que je suis allé vérifier pour vous sur les terres de la Golf : en Bavière.
Nouvelle Peugeot 308 2017, avis, test :
Look - 80%
Plaisir de conduite - 100%
Vie à bord - 80%
Comportement - 95%
Finition - 90%
Technologie - 70%
Prix - 75%
84%
La Peugeot 308 garde pour elle tout ce qui a fait son succès : ligne réussie, intérieur cossu, panels de moteurs complet et comportement routier exemplaire, tout en mettant à jour subtilement certains éléments pour être bien dans son temps.
En vidéo, essai de la Peugeot 308 restylée
760 000. C’est le nombre de 308 que Peugeot a écoulé depuis son lancement en 2013 (dont 250 000 dans l’Hexagone), un carton commercial qui a notamment aidé le constructeur sochalien à reconstruire par la suite une gamme moderne et convaincante tournant autour de ses SUV. Élue voiture de l’année 2014 et trustant les premières places des voitures les plus vendues en Europe, la 308 n’avait à vrai dire pas vraiment besoin d’un restylage vu comme ça… Peugeot y est alors allé par (très) petites touches et a apporté juste ce qu’il manquait à sa compacte pour rester la reine de la Jungle…
Un minois… rafraîchi
Suffisamment racée pour coller à l’ADN de la marque et relativement consensuelle pour plaire au plus grande nombre, la 308 était bien née et rentrait déjà en 2013 dans les canons du design du segment (mené par la Golf) avec des lignes tendues et un style plutôt sage. Quelconque en entrée/milieu de gamme, c’est en GT/GT Line qu’elle commençait à avoir une « vraie gueule » et à déclencher en moi un semblant d’intérêt. Et bien, ça tombe bien… Le Lion a subtilement revu le dessin de sa star pour la tirer « vers le haut ».
Avouons-le, seul un connaisseur (comme vous puisque vous êtes sur ce mirifique site) reconnaîtra dans son rétro une 308 phase 1 d’une 308 restylée. Le nombre de modifications effectuées se compte sur les doigts d’une main et s’inspire grandement de ce que l’on pouvait trouver sur les finitions GT Line/GT. Quoi de neuf au programme ? Toutes les déclinaisons (même les anti-sexy versions Business) jouissent ainsi désormais de feux de jour à LED, d’une calandre verticale comprenant le Lion en son centre, de nouvelles écopes d’air sur le bas des boucliers et… de deux nouvelles nervures sur son capot.
À l’arrière, bah… rien. Quoi ? Aucun changement ? Bon allez, puisque vous êtes de fins limiers, vous aurez remarqué la nouvelle trappe à essence carrée (trappe plus grande pour accueillir le trou d’AdBlue) mais aussi et surtout le fait que les trois griffes intégrées aux feux arrières, eux mêmes légèrement assombris, sont désormais allumées en permanence.
Vous l’aurez compris : on ne peut pas dire que cette 308 phase 2 ait fait suer l’équipe de design maison, à juste titre plus occupée à développer de nouveaux SUV et berlines. Voiture raison plutôt que voiture passion, la 308 sait être chic en version Allure et sportive en GT/Line… Sa silhouette est dynamique et son dessin général est réussi : la recette fonctionne et fonctionnera encore quelques années, c’est certain.
Un intérieur… cryogenisé, mais actualisé
Une fois à bord, c’est un mélange de satisfaction et d’incompréhension qui se mêle.
Satisfaction tout d’abord, puisque l’on retrouve ce cocon accueillant et agréable que Peugeot a su créé en 2013 sur la première génération. Sur nos versions GT/GT Line, c’est une véritable démonstration de savoir-faire et une belle provocation aux Allemandes (sur leurs terres en plus !) avec l’emploi de cuir nappa et d’alcantara sur les magnifiques fauteuils, et l’utilisation de plastiques d’excellente facture et d’inserts d’aluminium dans le reste de l’habitacle, le tout assemblé et fini avec une précision exemplaire.
Ça sent bon, c’est agréable au toucher, c’est agréable à regarder puisque c’est épuré, le monumental bon en avant de Peugeot sur ce point me bluffe à chaque fois. L’intérieur de la 308 n’a pas pris une ride et joue aux coudes-à-coudes avec l’ennemie jurée : la Golf.
Incompréhension ensuite, puisque l’on se demande en fait ce qui a changé.… Et bien rien en fait. La présentation est stricto sensu la même et les matériaux sont identiques ! Impossible de savoir si l’on est à bord d’une « ancienne » 308 ou d’une « nouvelle 308 ». Cela est d’autant plus dommage que le constructeur aurait pu proposer les nouveaux plaquages décoratifs disponibles sur 3008/5008 ou intégrer l’iCockpit virtuel (l’écran comme instrumentation digitale) lancé sur les deux SUV. Rien de tout cela… Peugeot a été frileux, trop frileux à mon goût : même VW a offert à la Golf le Virtual Cockpit ou une nouvelle console centrale lors de son dernier restylage.
À l’image des grandes firmes électroniques qui renouvellent leurs produits par petites touches tous les ans, le Lion s’est concentré sur l’aspect technologique de sa voiture en l’actualisant pour mieux coller avec les standards de divertissement et de sécurité du moment.
L’écran central réunissant toutes les fonctions de la voiture évolue sur l’aspect technique : il quitte la vieillissante technologie résistive pour adopter le capacitif, ce qui lui offre une meilleure réactivité et la possibilité d’utiliser par exemple le « pincer pour zoomer » (la fluidité est améliorée mais pas encore au niveau d’un smartphone). Ce même écran se voit recevoir une nouvelle interface (celle du 3008), plus intuitive et plus moderne, qui intègre la navigation TomTom et ses fonctions connectées (météo, trafic, radars, etc.) ainsi que la compatibilité avec Apple CarPlay et Android Auto.
Puisque nous sommes sur l’aspect tech restons-y : l’absence de l’iCockpit numérique m’a véritablement manqué et est à vrai dire difficilement explicable puisque Peugeot l’a déjà développé et intégré sur 3008… Cela apporte pourtant une réelle plus-value en terme d’utilisation, mais aussi et surtout pour le constructeur un argument marketing de choix pour vanter les mérites de sa « nouvelle » 308. Leon, Golf, A3, Mégane (partiellement), ses petites copines l’ont pourtant toutes adopté et c’est une option que l’on se doit de proposer à mon sens dans son catalogue en 2017.
Autre ineptie de la part du Lion : le recours systématique à l’écran tactile pour régler sa climatisation alors que le bon vieux (et inutile) lecteur CD aurait pu laisser place à des commodos de clim’, plus ergonomiques et pratiques pour le conducteur que de devoir quitter la route des yeux, changer de menus et appuyer sur des touches sans aucun retour pour choisir la température et la ventilation.
Mis à part ces quelques défaut d’ergonomie toujours pas corrigés, on se sent bien à bord de la 308 et c’est un sentiment d’espace qui s’en dégage avec de larges parties vitrées, dont cet immense toit panoramique (toujours pas ouvrant). Elle reste l’une des compactes les plus accueillantes de son rang, avec un habitacle cossu et logeable où cinq adultes peuvent prendre place et y ranger leurs affaires dans divers bacs de rangement et dans sa malle de 470 L, l’une des meilleures contenances de la catégorie, bien conçue et facile d’accès (même si l’implantation d’un hayon électrique aurait pu être pratique).
Un extérieur quasiment pas renouvelé, un intérieur presque inchangé : mais où sont donc les nouveautés ? Sous le capot ?
Sur la route : toujours aussi brillante
Mes essais de Peugeot s’enchaînent et se ressemblent : le Lion maîtrise le plaisir de conduite et est devenu maître pour mettre au point des modèles qui vont font sentir (et aimer) ce qui se passe sous nos roues.
Une voiture moderne et équipée comme il se doit
Comme toute bonne voiture développée en 2017, la 308 peut désormais compter sur une pléiade d’aides à la conduite et d’assistance en tous genres (de série ou en option selon les finitions) :
- Régulateur de vitesse adaptatif (avec arrêt automatique pour les BVA).
- Freinage d’urgence automatique entre 5 km/h et 140 km/h.
- Reconnaissances des panneaux avec régulateur de vitesse intelligent.
- Surveillance des angles-morts.
- Alerte de franchissement de ligne avec aide au maintien dans la voie.
- Caméra de recul intelligente qui surveille les angles-morts lorsqu’on sort d’une place.
- Passage entre feux de route et feux de croisement automatique
Une nouvelle boite EAT 8 (uniquement) pour la GT HDI
Nous avons commencé notre journée avec la 308 GT 2.0 BlueHDI 180 ch, obligatoirement dotée de la nouvelle nouvelle boite automatique EAT à 8 rapports. Cette dernière offre au quatre cylindres une allonge supplémentaire sur voie rapide et des consommations réduites (-7 % selon Peugeot) à allure stabilisée, se retrouvant ainsi à des scores inférieurs à 5,0 L / 100 km à 130 km/h.
Dans cette configuration, la 308 est une machine à avaler l’asphalte des Autobahn à vitesse soutenue : tutoyant les 210 puis les 220 km/h sur la portion proche de Salzburg, elle garde un cap imperturbable et n’accuse aucun bruit d’air, rendant les trajet à haute-vitesse agréables pour le conducteur comme ses passagers.
Une fois les axes rapides laissés derrière nous, c’est avec plaisir que nous nous aventurâmes sur les superbes routes entre la Bavière et les Alpes autrichiennes, à slalomer entre les crêtes et les vaches. La 308 nous offre alors une démonstration de ses capacités à enchaîner les courbes et virages serrés sans jamais nous piéger, elle vire à plat, rassure, et incite à hausser le ton encore et encore. Le 2.0 BlueHDI fournit lui un couple de 400 Nm dès 2000 tr./min. mais, diesel oblige, s’essouffle également assez tôt dans les tours.
La nouvelle boite EAT 8 se cale quant à elle sur le bon rapport sans qu’on ait trop à jouer avec les palettes et les enchaine en toute fluidité et sans a-coups, même si sa tendance à vouloir passer les rapports supérieurs (typée économie de consommation oblige) peut devenir agaçant en conduite sportive… Pour avoir de la gouache lors d’un dépassement après être resté coincé derrière Papy et son Touran gris, il faut alors rétrograder de quatre, voire cinq rapports (8 vers 3/4) pour avoir le couple nécessaire. Pas handicapant au quotidien mais frustrant si on souhaite hausser le ton ou si on habite à la montagne pour relancer.
Est-ce vraiment utile de pester encore et toujours sur le faux bruit de V8 diffusé dans les enceintes dès qu’on active le mode « sport » ? C’est peine perdue… Peugeot n’a pas entendu nos complaintes et s’obstine avec cette sonorité forcée aussi inadaptée à la voiture qu’agaçante. C’était pourtant simple de pouvoir choisir dans les menus d’activer à sa guise la direction raffermie sans le bruit d’un Lincoln Navigator, non ?
Du coup, mettons des boules quies et profitons du très bon feeling de conduite qu’offre la voiture, un sentiment renforcé par le petit volant du iCockpit que j’affectionne particulièrement sur routes sinueuses. Ce dernier donne la sensation de pouvoir placer le train d’avant où on le souhaite et de ressentir tout ce qui se passe sous nos pieds, la 308 GT est diablement efficace et incroyablement polyvalente. Elle mêle confort et dynamisme à la perfection, grâce au savoir-faire de Peugeot en matière de trains roulants, et donne un plaisir de conduite accrue par rapport à ce que font ses ennemies, Golf GTD et Mégane GT en tête.
Un nouveau moteur diesel
La deuxième partie de la journée était consacrée à un moteur moins sexy mais plus intéressant pour le constructeur puisqu’il s’agit du BlueHDI 130 ch, une évolution du 1.5 BlueHDI 120 ch, le bloc le plus vendu sur 308. Le constructeur anticipe et dote ainsi sa compacte d’un moteur diesel d’ores-et-déjà compatibles avec les normes anti-pollution Euro 6.c en vigueur dès 2020. Concrètement, ce nouveau BlueHDI offre 10 chevaux en plus tout en conservant des consommations maitrisées avec une baisse d’environ 5 % par rapport à l’ancien HDI 120.
Dans les faits, ce nouveau moteur m’a laissé une très bonne impression avec des accélérations franches (300 Nm de couple à 1750 tr./min.) et des reprises généreuses jusqu’à 3500/4000 tr./min. Il offre un comportement assez inhabituel pour un mazout mais relativement plaisant à utiliser, puisqu’il nous incite à jouer avec la boite manuelle à 6 rapports (dont les rapports ont été raccourcis) pour rester dans une plage d’utilisation relativement haute afin d’avoir de la pêche.
Il préserve également les occupants d’une sonorité potentiellement désagréable à l’accélération ou de vibrations à bas-régime tout en offrant des consommations intéressantes (6,5 L sur routes vallonnées et sinueuses). Ce nouveau bloc diesel au tempérament d’essence offre une alternative intéressante au très agréable mais plutôt gourmand 1.2 essence PureTech 130, mais réduit alors l’intérêt du 2.0 BlueHDI 150, maintenu dans la gamme pour tenir tête aux versions plus puissantes de TDI.
Peugeot n’a pas offert à ce 1.5 BlueHDI sa boite automatique EAT 6 ; et même si la BVM 6 jouit d’un guidage parfait et de rapports bien étagés, proposer une BVA sur un diesel cœur de gamme aurait, à mon sens, été intéressant.
La 308 conserve bien heureusement dans cette version ce compromis réussi entre dynamisme et confort (même dotée de magnifiques jantes de 18 pouces), faisant d’elle la reine incontestée de son segment sur le chapitre de la conduite.
Pour le kiff : escapade en 308 GT THP
En cette nouvelle matinée, deux choix s’offraient à nous : rester à l’hôtel pour profiter de la piscine ou partir sur l’une des plus belles routes d’Europe au volant de l’un des mes coups de cœur du paysage automobile. Même si l’eau à 30 degrés au milieu des montagnes pouvait sembler tentante, la deuxième option était impossible à ne pas envisager…
Départ pour la Panoramastrasse, une route unique et mémorable : 10 km de tracé sinueux sur une crête entre l’Allemagne et l’Autriche, fermée par un péage (8 euros pour l’emprunter), sans limitation de vitesse et recouverte d’un asphalte parfait. Une vision de l’automobile qui n’existe nulle part ailleurs qu’en Allemagne, où les passionnés sur deux ou quatre roues se rejoignent pour prendre leur pied tout en respectant l’autre, une sorte de Nurburgring sur routes sinueuses où chaque lacet offre un panorama à couper le souffle.
Au volant de la 308 GT, animée par le volontaire et plaisant 1.6 THP 205 qui n’a subi aucun changement, impossible de ne pas prendre son pied à titiller le rupteur à chaque sortie de courbe et à se jouer d’un chassis tout bonnement exceptionnel au point que l’on en voudrait encore plus avec les 270 chevaux et le Torsen de la GTI. La voiture est impossible à mettre à défaut, scotchée au bitume et ne demandant qu’à repartir vers le prochain virage. Et même si la route humide, le brouillard et le vent d’altitude (près de 1800 m) ne m’ont clairement pas mis en confiance pour attaquer, cela reste un souvenir de dingue et un lieu de plus dans lequel revenir à l’occasion d’un road-trip.
Plutôt que de longues phrases pour vous expliquer le panel complexe de combinaisons moteurs/boite, vous trouverez juste en-dessous la gamme disponible à ce jour. Sachez toutefois que Peugeot envisage d’offrir sa nouvelle boite EAT 8 à d’autres moteurs à l’horizon 2018 et qu’une motorisation hybride fera son apparition dans un second temps.
Concernant les tarifs, ces derniers ont pris en moyenne 300 € par rapport à la première phase de la 308, s’expliquant selon le constructeur par une dotation plus riche de série. Nous n’avons cependant pas encore ceux des deux versions essayées, qui seront communiqué à la rentrée… Quoiqu’il en soit, la compacte au Lion se place dans le panel haut du segment, côtoyant ainsi la Golf à la frontière des compactes premium.
Le bilan de cette Peugeot 308 restylée
Faut-il craquer quand on en possède déjà une ? Aucun intérêt (sauf si la nouvelle trappe à essence carrée vous fait son petit effet ou que votre LOA arrive à son terme) La 308 Phase 2 est une évolution toute en finesse désormais parée et armée pour faire face à la concurrence, en attendant une version renouvelée en profondeur à l’horizon 2020.
La compacte sochalienne garde toutefois pour elle tout ce qui a fait son succès depuis quatre ans : ligne réussie, intérieur cossu, panels de moteurs complet et comportement routier exemplaire, tout en mettant à jour subtilement certains éléments pour être bien dans son temps. Même si Peugeot aurait pu aller plus loin sur les aspects esthétique et technologique après nous en avoir mis plein les mirettes avec le 3008/5008, il n’y a aucun doute sur le fait que la 308 gardera ce succès inébranlable qu’elle rencontre depuis son lancement. Bref, elle est la Reine de la Jungle.
J’ai aimé
- La ligne féline (surtout en GT-Line / GT).
- La qualité de finition de l’habitacle.
- Les nouvelles aides à la conduite.
- Le comportement routier.
- Le nouveau bloc BlueHDI 130.
J’ai moins aimé
- Dessin arrière inchangé.
- Pas d’iCockpit Virtuel.
- Boite EAT 8 en conduite sportive.
Peugeot 308 2017 en chiffres
- Nouvelle motorisation : 1.5 BlueHDI 130 ch BVM 6 (disponible en décembre)
- Performances : v.max. 203 km/h / 0 à 100 km/h : NC
- Consommation : NC
- Dimensions : 4,58 m de long / 1,80 m de large / 1,45 m de haut
- Poids à vide : 1295 kg
- Coffre : 470 L
- Prix (hors GTI) : 20 550 € (PureTech 110 Allure) à 32 150 € (GT THP 205).
Galerie photos : Peugeot 308 restylée
Nouvelle Peugeot 308 2017, avis, test :
Look - 80%
Plaisir de conduite - 100%
Vie à bord - 80%
Comportement - 95%
Finition - 90%
Technologie - 70%
Prix - 75%
84%
La Peugeot 308 garde pour elle tout ce qui a fait son succès : ligne réussie, intérieur cossu, panels de moteurs complet et comportement routier exemplaire, tout en mettant à jour subtilement certains éléments pour être bien dans son temps.
4 commentaires
Bonjour. Superbe voiture ! Ça me donne envie de vendredi ma 307, quoi que…
En matière de sonorisation, est ce qu’un des modèles des 308 possède les connectiques pour brancher en bluetooth les smartphones à l’autoradio ? Merci pour votre réponse et longue vie à votre blog !
Hello,
Toutes les versions disposent du Bluetooth et d’un port USB pour utiliser CarPlay/Android Auto.
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