Rupture totale avec la précédente génération, le Peugeot 5008 mue et délaisse sa silhouette vieillissante de monospace, pour laisser place à un SUV, un format et une appellation plus au goût du jour. Pour être tout à fait précis, le 5008 est l’un des premiers SUV sept places du segment C, une catégorie qui se caractérise par des dimensions contenues (-4,70 m), des tarifs en-deçà des 50 000 € et… sept places. 3008 XL ou véritable nouveauté ? Nous sommes allés le découvrir autour de Lisbonne.
Essai du nouveau Peugeot 5008 en vidéo
Adieu monospace compact et autres tendances automobiles des années 2000. Là où d’autres constructeurs s’accrochent tel un coquillage à leur rocher et persistent avec d’énièmes générations de Scenic et autres C-Max, le constructeur sochalien opère un véritable virage à 180° et fait de son 5008 un SUV. Bon, pas vraiment besoin d’être analyste pour comprendre ce choix : 4 000 000 de SUV sont vendus chaque année en Europe, soit plus d’une voiture sur quatre… Et comme le 5008 à vocation à devenir un succès en-dehors de nos frontières, Peugeot se devait de délaisser le format fossile du monospace compact. Petit à petit, le Lion construit sa gamme de SUV et ce 5008 vient la chapeauter.
Pendant que le 2008 reste le second SUV compact le plus vendu en Europe, le 3008 est lui un succès retentissant pour Peugeot depuis le début de sa commercialisation au dernier Mondial de Paris, avec près de 100 000 commandes et la première place sur le segment C en France. Pour la petite histoire, c’est le meilleur lancement du constructeur depuis la 206 en 1998, c’est dire…
Peugeot va-t-il rencontrer ce même succès avec son 5008 ? Il y a de fortes chances !
Extérieur
Je ne vous referai pas l’apanage de la nouvelle griffe stylistique du Lion introduite par le concept Quartz et lancée en série sur le 3008, le 5008 n’en est qu’une version rallongée et adaptée pour les familles nombreuses. Bon, c’est un poil caricatural mais c’est le cas et c’est voulu par Peugeot… Une famille se doit d’être identifiable et notre gros bébé n’est autre que le grand frère de 3008. 19 cm plus long que son cadet, c’est surtout son empattement qui en profite (+ 16,5 cm) et donc l’habitabilité (mais on y viendra…). Essayé en version GT, notre Lion reprend le museau franchement réussi du 3008 avec des optiques acérées, une calandre avalant littéralement le bitume et des lignes tendues qui lui confèrent un look résolument moderne et agressif. J’adore.
La hauteur reste la même (1,64 m), mais l’arrière subit quelques transformations. Sept places et coffre XXL oblige, le côte dynamique de la proue du 3008 est ici sévèrement touché et l’on se retrouve avec un arrière-train un poil trop lourd à mon goût. Les équipes de style de Peugeot ont heureusement préservé le 5008 d’un porte-à-faux arrière typé « sac à dos » façon 500L Living, mais on perd résolument en caractère et notre gros SUV accuse des faux-airs d’utilitaire en vue 3/4 arrière. Petit détail tout bête mais qui change la donne : le « vide » entre le bandeau noir laqué et le renfoncement pour la plaque d’immatriculation, deux fois plus importants sur le 5008 par rapport au 3008, qui laisse sa chute de rein désespérément vide. Dommage.
Essayé en version GT (haut-de-gamme), notre 5008 a quand même une sacrée gueule avec ses jantes de 19 pouces, ses feux à LED et son toit noir brillant. Contrairement au 3008, ni coupe franche, ni couleurs funs disponibles ici, les futurs acquéreurs du 5008 devront se contenter de (50) nuances de gris, noir ou blanc… Quand je vous dis qu’il a vocation à titiller les clients du segment supérieur et autres déçus du manque d’innovation stylistique des Allemands ce 5008, ce n’est pas pour rien. Résolument sage et mature, il frise avec les premiums tout en apportant un lot d’originalité et de fraîcheur bienvenu dans un segment souvent ennuyant à regarder. Face à lui aujourd’hui, ses concurrents se comptent sur les doigts d’une main : Nissan X-Trail, Hyundai Santa Fé, Skoda Kodiaq, Discovery Sport et le futur Tiguan All Space. En somme, rien de bien flatteur pour la rétine ; Peugeot avait un vide stylistique à combler et devait faire oublier le côté camionnette familiale du 5008, c’est réussi.
Intérieur
Là encore, 3008 et 5008 partagent la même présentation, et c’est tant mieux. Le SUV bénéficie du nouvel iCockpit, à la présentation toujours aussi originale avec son petit volant placé assez bas et le bloc d’instrumentation placé relativement haut, et rendant ainsi inutile la présence d’un affichage tête-haute.
Le travail de simplification de l’IHM est remarquable et l’ergonomie de la planche de bord est excellente, avec des boutons physiques au look vraiment sympa type aviation pour accéder rapidement aux fonctions utiles, et des écrans aussi beaux qu’agréables à regarder. Lancée en série par Audi avec le Virtual Cockpit et repris depuis par un grand nombre de constructeurs, l’instrumentation numérique est à vrai dire à la mode… Peugeot s’y est mis avec le 3008 et, logiquement, 5008 hérite de l’écran de 12,3 pouces en lieu et place des compteurs ; qui offre une interface claire, fluide et entièrement personnalisable, ce qui apporte un vrai plus en terme d’expérience de conduite.
On peut ainsi y afficher la carte et les instructions de navigation, les données en temps réel, les divers assistants à la conduite ou un écran minimaliste afin de n’avoir que les compteurs. L’ensemble des informations peut bien évidemment être relayé sur l’écran tactile de 8 pouces trônant sur la console centrale, finalement relégué à un écran de divertissement à destination des passagers puisque le conducteur jouit des infos qu’il désire face à lui… Au même titre que je le pestais déjà sur la 308, je reste réticent quant aux commandes de climatisation directement sur l’écran tactile ; c’est à mon sens la seule erreur d’ergonomie puisque cela demande d’appuyer sur une touche pour accéder au menu dédié puis de faire le nécessaire via divers appuis. Il aurait été plus judicieux de réaliser de jolis commodos (coucou ceux de l’Audi TT) ou de permettre à la commande vocale de régler la ventilation, comme chez Ford.
Au-delà d’une présentation aguicheuse et innovante qui n’a plus rien à avoir avec les Peugeot d’il n’y a pas si longtemps que ça et qui change de la tristounette grille d’aération horizontale surplombant un écran (ou l’inverse) des productions Outre-Rhin, c’est l’impressionnant bon en avant au niveau qualitatif de cet habitacle qui m’a véritablement bluffé… Jouissant de la version GT, j’ai ainsi pu attester des incroyables (et je pèse mes superlatifs) progrès du Lion au niveau des ajustements et des matériaux utilisés : adieu plastiques soviétiques et assemblements approximatifs, les plastiques moussés (la presse aime bien les plastiques moussés) et plaquages en chêne cohabitent avec des touches en cuir et inserts d’aluminium du plus bel effet. La présentation est flatteuse, le tout respire la qualité, et quelques petits détails donnent cet effet « wahou » que l’on est en droit d’attendre lorsqu’on connait le soin apporté aux intérieurs par les équipes de PSA. À l’image de l’iCockpit Amplify, cette option que personne ne prendra mais qui amusera pourtant belle-Maman et les enfants : le fait de pouvoir changer l’ambiance à bord et de mettre en éveil –ou en sommeil– presque tous vos sens. Vous pouvez ainsi grâce à ça choisir parmi deux ambiances « Relax » ou « Boost », et choisir l’un des trois parfums d’intérieur, deux ambiances lumineuses, cinq programmes de massage (aux sièges avant) différents et… des réglages sonores optimisés pour vous encourager à appuyer sur la Sainte-Pédale ou rouler paisiblement. Bref, tant de paramètres et de détails aussi drôles qu’inutiles sur lesquels ont travaillé quelques dizaines de têtes pensantes au cours de l’élaboration de la voiture.
Technologiquement parlant, le 5008 est bien dans son temps et propose tout ce que l’on est en droit d’attendre sur un SUV passé les 40 000 €. Outre ses deux écrans, il embarque une connectivité complète à bord (Wi-Fi), le support de CarPlay et d’Android Auto, un emplacement pour charger par induction son téléphone (si tenté qu’il soit compatible) et un remarquable système Hi-Fi Focal (une option à 850 €) composé de 10 haut-parleurs.
Enfin, comme tout bon SUV 7 places qui se respecte et digne remplacement d’un monospace compact, impossible pour lui de ne pas accueillir comme il se doit ses occupants et toutes leurs affaires. Sur les 19 cm de plus qu’a pris le 5008 comparé au 3008, l’empattement en récupère 16,5 cm… Inutile de vous faire un dessin, l’espace aux places arrières est tout simplement irréprochable (+60 mm par rapport au 3008), les occupants jouissent de tablettes et de stores latéraux, l’habitacle est inondé de lumière par le toit panoramique et tout est pensé pour que le voyage se passe dans les meilleurs conditions avec un réglage indépendant de la clim’, ainsi qu’une prise 220V en plus de la traditionnelle 12V.
La modularité n’est pas en reste avec trois sièges complètement indépendants, réglables en longueur, en inclinaison et qu’il est possible de rétracter pour accéder à ce qui fait tout l’intérêt du 5008 : deux places supplémentaires dans le coffre. Comme souvent dans ce format de véhicule, ces dernières ne serviront que de places d’appoint (ou de punition) pour des enfants ou de petits adultes. Bien que l’accès soit relativement aisé, réussir à caser ses jambes et ma carcasse dans cet espace confiné n’est pas une mince à faire. L’assise est raide, l’espace ridiculement réduit et la visibilité assez médiocre. Ces deux places sont finalement plus un levier utile au marketing envers les familles nombreuses qu’une solution envisageable pour ces dernières. À défaut d’être agréables, il faut néanmoins noter que le déploiement, le rangement et même le retrait de ces deux sièges est facilité par leur poids plume (11 kg), même s’ils ne jouissent pas d’une commande électrique on ne peut plus pratique, comme sur le Scenic.
En fait, c’est bien le coffre qui jouit le plus des cm ajoutés aux 5008 par rapport au 3008. Commençons par le commencement, le seuil de chargement est bas, ce qui est pratique ; le hayon s’ouvre électriquement, ce qui est encore plus pratique, et la malle est gigantesque (702 L en version 5 places /). Les sièges d’appoint retirés apportent 40 L et la seconde rangée de fauteuil rabattue offre un plancher plat et un espace digne d’un Peugeot Expert (1940 L). Cet immense espace de chargement est accompagné de 40 L de rangements répartis dans l’habitacle, une aubaine pour les familles.
Peugeot a réussi ce que peu de constructeurs arrivent à concilier : réunir la modularité et la praticité d’un monospace compact dans le format d’un (gros) SUV, sans rechigner sur le soin apporté à la vie à bord et à la présentation. Un véritable sans-faute pour le 5008, dès lors qu’on ne souhaite pas embarquer deux malheureux occupants en plus des cinq chanceux.
Conduite
Contre vents et marées lorsque j’écoute et lis mes confrères blogueurs et journalistes, je me retrouve bien seul à défendre la position de conduite des Peugeot depuis quelques années. Là où la majorité peste contre l’iCockpit et notamment le supposé manque de visibilité des compteurs, j’encense de mon côté le choix de Peugeot qui a su proposer quelque chose d’atypique et de vraiment novateur avec son petit volant. Bien calés dans les superbes fauteuils en cuir nappa (une option à 2000 €), la position est idéale : on surplombe suffisamment la route pour se sentir dans un véhicule de ce segment sans avoir la sensation de conduire une camionnette. Bref, tout ça donne envie de tourner la clé…
Si vous conduisez déjà une Peugeot, vous connaissez la maîtrise du constructeur quant aux liaisons au sol. Je n’aurais pas imaginé retrouver ce plaisir au volant de notre pachyderme… Châssis, suspension, direction, tout est parfaitement réglé pour que l’on kiffe au volant ; le 5008 GT est une référence en matière de comportement routier. Sur nos petites routes sinueuses au sud de Lisbonne, le SUV enchaîne sans sourciller et sans nous le faire ressentir les lacets et enchaînements de virages rapides : il reste stable et réactif, jamais piégeur et toujours confortable malgré une monte en 19 pouces de série et des suspensions relativement fermes. Le nouveau 5008 perd 95 kg comparé à la précédente génération ; combiné au travail réalisé sur le châssis et l’adoption de la plate-forme EMP2, cela lui empêche une quelconque prise de roulis et une efficacité bluffante quand on pense à ses proportions. Le mode « sport » reprend quant à lui les mêmes avantages et désavantages que sur la 308 GT(i) : la réponse pédale d’accélérateur est plus sensible, la direction se raffermit, mais l’agaçante bande-son de faux V8 résonnant dans les enceintes persiste. Pour le coup, c’est vraiment le genre de truc que j’aurais aimé pouvoir désactiver… En même temps, Peugeot a choisi de ne doter le 5008 GT que d’une motorisation : le 2.0 L BlueHDI 180, d’où la nécessité de créer de toute pièce une sonorité un peu plus équivoque que celle du bloc diesel…
Mettre au point des châssis proches de la perfection, c’est une chose ; les combiner à des moteurs et boites capables d’en tirer parti, c’est mieux. Et c’est là que le bas blesse au final : le modèle le plus dynamique de la gamme doit se contenter d’un bloc destiné aux gros rouleurs plus qu’aux amateurs de plaisir de conduite. Développant 180 poneys, abattant le 0 à 100 en 8,9 secondes et conférant 400 Nm de couple sous la pédale, le quatre cylindres est à vrai dire un moteur convaincant mais dénué de personnalité et ne collant pas trop à la philosophie « GT ». Il suffit amplement à mouvoir le 5008 puisqu’offrant suffisamment de gouache pour emmener les 1530 kg du félin dans toutes les situations, mais combiné à la boite EAT 6, il pêche à suivre la cadence dès qu’on lui en demande plus et accuse un vilain côté rugueux sous les 2000 tr./min.
Dans une utilisation tout à fait ordinaire (qui sera indéniablement celle des clients de ce véhicule), l’EAT 6 suffira amplement à accompagner la bestiole et enchaînera ses rapports sans rechigner tout en préservant sa consommation (7 L de moyenne sur notre essai sans y prêter attention). Si l’envie vous prend de titiller le rupteur et de hausser le ton, elle vous fera comprendre qu’elle n’est pas conçue pour ça et vous aurez forcément recours aux palettes placées derrière le volant pour prendre la main et vous épargner ainsi les a-coups et autres relances désagréables dès qu’on touche au kickdown. Au final, il eût été plus judicieux pour Peugeot de proposer de choisir entre leur très bonne boite manuelle et cette EAT 6, voire de proposer la même combinaison que la 308 GT avec le 1.6 THP 205 chevaux forcement associé à la boite manuelle : un choix de premier ordre qui m’avait convaincu dans la compacte. Inutile de supplier Peugeot, aucune déclinaison GTI ne verra le jour.
Dès qu’on s’écarte des routes sinueuses et que l’on retrouve les grands axes, le voyage en première classe pour passagers et conducteur prend tout son sens avec une insonorisation parfaite et un confort royal. Le 5008 est une machine à enchainer les kilomètres et est doté de tout un arsenal d’aides à la conduite pour accompagner le maestro (un pack à 400 €). Une pléiade de caméras et de capteurs veille alors à ce que vous restiez dans le droit chemin (si vous déviez de votre trajectoire, la voiture se remettra dans l’axe), vérifie que personne ne se trouve dans votre angle-mort ou ajuste votre vitesse en fonction du véhicule qui vous précède jusqu’à même vous arrêter en cas d’embouteillage. En ville, une caméra à 360° et le Park Assist vous aideront à caser son imposante carcasse et ses jolies jantes sans l’égratigner. Le 5008 est bien dans son temps et propose tout ce que l’on est en droit d’attendre sur un SUV (presque) premium.
Enfin, et même si son look aurait pu laisse le présager, ne comptez pas sur lui pour vous accompagner dans vos envies d’escapades en terrain accidenté. Peugeot ne l’a pas doté, et ne le dotera pas, d’une transmission intégrale ; il faudra compter sur une version avancée du Grip Control (un contrôle avancé de la motricité en fonction du terrain sur lequel on se trouve) et de l’assistance en descente. Des artifices qui vous permettront de monter à Val d’Isère ou d’amener la petite dernière au centre équestre mais qui vous stopperont là où le Discovery Sport commencera à s’amuser par exemple. Ce Pack « tout-chemin » est une option gratuite sur le 5008 GT, mais entraine une sous-monte en 18 pouces et l’arrivée de pneus boue et neige en lieu et place des jolies jantes de 19 pouces et Conti SportContact.
Bilan
Cette nouvelle génération de 5008 fait donc table rase du passé, et c’est tant mieux. Pionnier d’un segment en plein essor, il a toutes les armes pour trouver son public et affronter une concurrence qui se prépare. Doté d’un design moderne, d’un habitacle innovant et technologiquement au point, il donne un nouvel élan au constructeur sochalien et lui assure un succès certain à travers l’Europe. Cette hausse des prestations s’accompagne en toute logique d’une hausse substantielle des tarifs, et notre version essayée frise ainsi avec les 50 000 € puisque équipée de toutes les options possibles au catalogue. Alors oui, à ce tarif, il est impossible de ne pas faire la comparaison avec les premiums et de se poser quelques questions… Mais le 5008 GT amène avec lui un peu de fraîcheur et d’innovation et se pose comme un challenger des Espace Initiale Paris ou autres Discovery Sport HSE Luxury, en attendant que les allemands dégainent leurs armes 7 places, à commencer par Volkswagen avec le Tiguan All Space.
Une déclinaison hybride-essence rechargeable de 200 ch doté de 50 km d’autonomie verra par ailleurs le jour dans les deux prochaines années, ce qui lui offrira la seule chose qu’il lui manque réellement aujourd’hui : une motorisation noble et innovante. Enfin, pointe de chauvinisme et réel argument marketing, le 5008 sera assemblé pour le monde entier (hors Chine) à l’usine de Rennes : la « french-touch » combiné au « Made in France » a encore de beaux jours devant lui…
Gamme, équipements et tarifs
Idem Peugeot 3008 pour gamme et équipements. Version essayée full-options : 49 000 €.
J’aime
– Changement de personnalité réussi
– Intérieur innovant et accueillant
– Habitabilité et volume de chargement
– Arsenal technologique convaincant
– Comportement routier irréprochable
J’aime moins
– Design AR un peu lourd
– Combinaison HDI/EAT 6 décevante
– Manque un moteur essence plus puissant que le THP 165
– Pas de transmission intégrale disponible.
– Tarifs salés (mais justifiés)
Peugeot 5008 GT en quelques chiffres
– Longueur : 4,64 m
– Poids : 1530 kg
– Moteur BlueHDI 180 ch et 400 Nm de couple
– Boite automatique EAT à 6 rapports
– Consommation mixte constructeur 4,8 L / Relevée 7,0 L
– 43 790 € (hors options) / Modèle essayé : 49 500 €
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