Deuxième temps fort de l’été, après mes vacances, les Jeux Olympiques de Rio vont rythmer le mois d’Aout. Des records tomberont certainement, et, malgré la multitude de disciplines, ils auront pour la plupart un point commun : la mesure officielle du temps sera effectuée par la maison Omega.
Du travail de pro
C’est la 27ème fois qu’Omega endosse la lourde responsabilité de chronométreur officiel et l’arsenal déployé sur place est énorme. Pas moins de 200 kms de câbles et fibres seront déroulés, 450 tonnes de matériel, 480 professionnels accompagnés de 850 volontaires, plus de 400 tableaux d’affichages, les chiffres montrent la logistique impressionnante pour mener à bien la mission confiée pour ces J.O. 2016.
L’excellence en moins de 10 secondes
La course du 100 mètres reste un point fort de l’événement, et cela constitue également une vitrine de la haute technologie mise en place afin d’offrir une précision de chronométrage encore inégalée. Des starting-blocks à détection de faux départs reliés au pistolet de start seront mis en place, et à la fin de la course un rideau de capteurs et une caméra à 10000 images/seconde permettra de déterminer avec la plus grande rigueur le résultat de la course.
S’offrir un bout du rêve olympique
Avec sa collection RIO 2016 Omega nous ‘offre’ trois gardes temps inspirés des couleurs des médailles et des anneaux olympiques. Vendues en nombres limités, elles garantissent également un bon placement. La première, la Seamaster Diver 300 est tout d’abord une superbe montre de plongée de 41mm animé d’un robuste calibre co-axial 2500. Etanche à 300 mètres, elle garantie une utilisation quotidienne. Complète, avec la date à 3 heures, c’est une montre tous terrains. La décoration en forme de vagues du cadran rappelle les vagues de la plage d’Ipanema où Omega à installé son QG d’où les invités peuvent suivre les jeux. Les chiffres sur la lunette sont aux couleurs des anneaux olympiques et le dos est gravé ‘Rio 2016’ avec le numéro de la série limitée. Affiché à 4100 euros elle ne fait pas payer cher son exclusivité par rapport au modèle standard.
Entre passé et avenir
Deuxième modèle spécial RIO, la Seamaster Bullhead Rio, est de loin la plus exubérante. Inspirée des chronographes anciens, elle reprend les couleurs flashys des anneaux olympiques. La lunette interne est tournante et elle ornée des graduations colorées. Cette montre est également un chronographe doté d’un compteur 30 minutes à 12h et d’un compteur de petites secondes à 6h. Le calibre est ici un 3113. Ce modèle n’est édité qu’à 316 exemplaires, encore un bon placement si vous réussissez à en trouver une disponible et si vous pouvez débourser les 8000 euros demandés.
Inspiration et élégance
Si les couleurs des anneaux olympiques ne vous font pas rêver, les couleurs des médailles en font rêver plus d’un. Le dernier modèle spécial RIO est la Speedmaster Mark II Rio 2016. Son boitier arrondi est inspiré du modèle de 1969. D’un diamètre de 42mm son boitier tout en acier est équipé d’un chronographe. La référence à Rio est de loin la plus belle et la plus élégante avec des inserts sur les 3 cadrans, en bronze, argent et or. Sur ce modèle le fond est également gravé. De part sa discrétion, ce chrono sera pour moi le modèle le plus désirable, d’autant plus qu’il est animé par l’excellent calibre co-axial 3330. Son placement à 5400 euros reste encore ici ‘raisonnable’ pour une série limitée à 2016 exemplaires.
Luxe et haute technologie
Encore une fois Omega nous démontre son savoir faire technologique en assurant la partie chronométrique des jeux et également son savoir faire créatif en proposant des modèles de montres bien inspirés. Les montres en séries limitées sont toujours un bon placement mais au-delà de l’attrait financier, elle représente encore un peu plus la qualité et l’exclusivité de la marque.